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plus de chances d’être chrétien qu’un quelconque
happy end
soi-disant édifiant, s’il est certain que l’Évangile et ses promesses
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plus de chances d’être chrétien qu’un quelconque
happy end
soi-disant édifiant s’il est certain que l’Évangile et ses promesses
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vant-propos de son petit livre et cette espèce de
happy end
que figure le dernier paragraphe, il paraîtrait qu’il s’agit là d’une
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roman allégorique du xviie siècle qui inventa le
happy end
. Le vrai roman courtois débouchait dans la mort, s’évanouissait dans
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res années de l’après-guerre. C’était l’époque du
happy end
: tout devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de te
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a profonde satisfaction que produit à coup sûr le
happy end
provient précisément du fait qu’il libère le public de ses contradict
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nées de l’entre-deux-guerres. C’était l’époque du
happy end
: tout devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de te
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a profonde satisfaction que produit à coup sûr le
happy end
provient précisément du fait qu’il libère le public de ses contradict
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nées de l’entre-deux-guerres. C’était l’époque du
happy end
: tout devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de te
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a profonde satisfaction que produit à coup sûr le
happy end
provient précisément du fait qu’il libère le public de ses contradict