1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 plus de chances d’être chrétien qu’un quelconque happy end soi-disant édifiant, s’il est certain que l’Évangile et ses promesses
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
2 plus de chances d’être chrétien qu’un quelconque happy end soi-disant édifiant s’il est certain que l’Évangile et ses promesses
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
3 vant-propos de son petit livre et cette espèce de happy end que figure le dernier paragraphe, il paraîtrait qu’il s’agit là d’une
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
4 roman allégorique du xviie siècle qui inventa le happy end . Le vrai roman courtois débouchait dans la mort, s’évanouissait dans
5 res années de l’après-guerre. C’était l’époque du happy end  : tout devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de te
6 a profonde satisfaction que produit à coup sûr le happy end provient précisément du fait qu’il libère le public de ses contradict
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
7 nées de l’entre-deux-guerres. C’était l’époque du happy end  : tout devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de te
8 a profonde satisfaction que produit à coup sûr le happy end provient précisément du fait qu’il libère le public de ses contradict
6 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
9 nées de l’entre-deux-guerres. C’était l’époque du happy end  : tout devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de te
10 a profonde satisfaction que produit à coup sûr le happy end provient précisément du fait qu’il libère le public de ses contradict